Accueil Grandes oeuvres <i>The Fantasticks</i> — Try to Remember

The Fantasticks — Try to Remember

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The Fantasticks ©DR

Musique : Har­vey Schmidt.
Livret et Lyrics : Tom Jones.

Créa­tion off-Broad­way le 3 mai 1960 au Sul­li­van Street Play­house. Aucune inter­rup­tion jusqu’à jan­vi­er 2002… Des pro­duc­tions un peu partout dans le monde (70 pays et pas moins de 5000 villes améri­caines ont pu décou­vrir une pro­duc­tion du spec­ta­cle), et une chan­son désor­mais ultra célèbre.

Pro­duit par Lore Noto.
Mise en scène : Word Baker.
Avec, dans le cast orig­i­nal : Ken­neth Nel­son, Jer­ry Orbach, Rita Gard­ner, William Larsen, Hugh Thomas, Richard Stauf­fer, Thomas Bruce, George Cur­ley, Jay Hampton.

Chan­sons

Act one (in the moon­light) : Over­ture — Try to Remem­ber — Much More — Metaphor — Nev­er Say No — It Depends on What You Pay — You Won­der How These Things Begin — Soon It’s Gonna Rain — The Rape Ballet/Happy Ending.

Act two (in the sun­light) : This Plum Is Too Ripe — I Can See It — Plant a Radish — Round and Round — There Is a Curi­ous Para­dox — They Were You — Try to Remem­ber (reprise).

Syn­op­sis
Acte 1 : La scène se rem­plit avec les acteurs qui se hâtent de pré­par­er le plateau, enfi­lent leurs cos­tumes… Un nar­ra­teur entonne Try to Remem­ber, l’âme du show, et intro­duit les héros : une fille, un garçon, deux pères et un mur. Les pères ont bâti ce mur pour être cer­tains que leurs enfants tomberont amoureux. En effet, ils pensent bien con­naître la psy­cholo­gie de leurs reje­tons et con­sid­èrent qu’ils doivent leur faire croire qu’ils sont opposés à cette union ! Pour clore le tout, ils com­man­dent au nar­ra­teur, devenu El Gal­lo, d’en­lever la fille, de manière à ce que le garçon la sauve, ce qui se produit.

Acte 2 : Ayant décou­vert la supercherie, les enfants se sen­tent trahis. Le garçon part décou­vrir le monde alors que sa dul­cinée se mor­fond et tombe un temps amoureuse de El Gal­lo, qui la plaque. Lorsque le garçon ren­tre au bercail, les anciens amoureux, endur­cis par la vie, entre­pren­nent alors une nou­velle rela­tion. Enfin, le nar­ra­teur chante de nou­veau Try to Remem­ber, la chan­son prenant alors une nou­velle teinte.

Les thèmes
L’amour, bien enten­du, mais aus­si la manip­u­la­tion, la part du hasard… Adap­té des Romanesques d’Ed­mond Ros­tand (plus con­nu pour sa pièce en alexan­drin Cyra­no de Berg­er­ac), la comédie musi­cale nous con­te… une his­toire d’amour. Les illu­sions de la jeunesse, la sagesse, l’amour indompt­able sont au cen­tre de cette œuvre intimiste.

L’his­toire der­rière l’histoire 
Les auteurs sont égale­ment les heureux par­ents de la plus petite comédie musi­cale au monde : I Do, I Do!. La forme musi­cale de The Fan­ta­sticks est égale­ment restreinte puisque la par­ti­tion n’est écrite que pour piano, harpe, per­cus­sion et cordes.

Le théâtre ne com­porte que 153 places. Il est à not­er que c’est au nom­bre de places d’un théâtre et non de la sit­u­a­tion géo­graphique de la salle que sont attribués les références « Broad­way show » ou « off-Broad­way show ».

Ver­sions de référence 

Pro­duc­tion orig­i­nale off Broad­way.

Orig­i­nal Broad­way Cast 1995.

Ver­sion vidéo de 1995 disponible sur DVD.