
Compositeur, comédien, pianiste, Patrick Laviosa est actuellement à l’affiche du Cabaret des hommes perdus pour lequel il a composé la musique.
Nom : Laviosa
Prénom : Patrick
Date de naissance [NDLR : année facultative mais ce serait bien si vous la mettiez] : Le jeudi 20 octobre 1966
J’adore : Me réveiller avant que le réveil ne sonne, pour pouvoir me rendormir quelques minutes, et avoir l’impression que j’ai du temps devant moi.
Je déteste : Les gens bornés. (Vous savez, ceux qui disent : « Non monsieur ! C’est comme ça ! Oui, je comprends bien votre problème, mais le règlement c’est le règlement et puis c’est tout. »)
Ma couleur préférée : Le bleu des mers du sud.
Mon péché mignon : Je vendrais père et mère pour un plateau de coquillages frais.
L’autre métier que j’aurais pu faire : Interprète (j’adore les langues étrangères et les voyages). Ou bien diplomate (pour les mêmes raisons et parce que j’ai bon caractère). Ou encore un métier en rapport avec la nourriture : cuisinier, pâtissier, boulanger… (d’ailleurs je fais souvent des « pains » quand je joue du piano…)
La chose que j’emporterais sur une île déserte : Mon couteau à huîtres.
Mon pire cauchemar : C’est un cauchemar authentique et récurrent : Le rideau va se lever, je dois entrer en scène, mais je ne connais pas un seul mot du texte que je dois déclamer ou de la musique que je dois jouer, je jette des regards désespérés aux autres comédiens qui sont absolument consternés. C’est la honte à l’état pur ! Parfois je ne sais même pas quelle pièce on joue !
Sucré ou salé ? Les deux, sous toutes les formes, et en grande quantité !
En ce moment, j’écoute : Ma petite musique intérieure. (Non, non, ce n’est pas le titre d’une chanson !)
En ce moment, je lis : …ben le dernier Amélie Nothomb, comme tout le monde, tous les ans à la même époque ! Pas vous ?
Mon idole quand j’avais dix ans était : Anne Sylvestre (Et alors ? Y a pas de quoi rire !)
Mon idole aujourd’hui est : En grandissant, j’ai cessé d’être idolâtre.
Ma comédie musicale préférée : West Side Story, depuis longtemps et pour toujours.
Le rôle que je rêve d’interpréter : Je rêve d’interpréter Harry Fragson (1869 — 1913), mais il faudrait d’abord que quelqu’un écrive une pièce sur lui !
La personne avec qui je rêve de travailler : Judy Garland — Ah bon, y a peu de chances ? Ben oui mais c’est un rêve, alors…
Trois adjectifs qui me décrivent :
1) Gourmand (de nourriture mais aussi de culture, d’expériences, bref de la vie en général).
2) Ouvert (dans toutes les acceptions du terme).
3) Serein (parce qu’il faut bien ça pour compenser les deux premiers !).
Question posée par la précédente victime de Ze interrogatoire, Anandha Seethanen : Que signifie pour vous « être heureux » ? Et elle s’imagine que je vais répondre à cette question dont 3000 ans de philosophie ne sont pas venus à bout ? Elle est malade, cette fille !
Bon, pour répondre quelque chose quand même, je dirais : Ne pas avoir mal aux dents. Et j’ajouterai ce verset personnel au fameux sermon sur la montagne de Jésus : « Heureux ceux qui n’ont pas mal aux dents, car quand ils auront une carie ils comprendront leur douleur ! »
La question que je pose à la prochaine victime de ze interrogatoire : « Répondez à une question que vous aurez formulée vous-même ». (C’est ce que j’aurais voulu qu’on me demande !)
Ma devise : À chaque jour suffit sa peine (Mat. 6 : 34)