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Malaurie Duffaud

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Malaurie Duffaud ©DR
Malau­rie Duf­faud ©DR

Malau­rie est à l’af­fiche de La Fille d’Oc­to­bre. Sor­tie de l’al­bum le 12 octo­bre et con­cert de sor­tie à la Boule Noire le 29 octobre.

Nom : Duffaud

Prénom : Malaurie

Date de nais­sance [NDLR : année fac­ul­ta­tive mais ce serait bien si vous la met­tiez] : 15 octo­bre 1977

J’adore : pren­dre le temps de ne rien faire avec les gens qui me sont chers, avoir chaud, qu’on me masse la nuque, les ours, les sashimis, les aman­des, tra­vailler de nou­velles chan­sons, l’odeur chez le coif­feur, pren­dre le train très tôt, être dépaysée, redé­cou­vrir Paris, la Mer Méditerranée .

Je déteste : être en retard, qu’on me demande quand je passe à la télé, tomber en panne de café, la rou­tine, ne pas avoir de sty­lo sur moi, le prosé­lytisme, ne pas faire les choses à fond, les conflits.

Ma couleur préférée : le noir et depuis peu le blanc cassé.

Mon péché mignon : l’apéro idéal, à savoir une pres­sion et des cac­ahuètes, bien sûr ! Sinon le Côte d’Or au lait et aux noisettes me fait tou­jours autant d’effet.

L’autre méti­er que j’au­rais pu faire : j’au­rais sûre­ment adoré être psy­ch­an­a­lyste, forme de sac­er­doce humanitaire.

La chose que j’emporterais sur une île déserte : alors, papi­er, cray­on, c’est sûr, et euh… j’ai droit à une pince à épiler ?

Mon pire cauchemar : qu’au­cun son ne sorte de ma bouche.

Sucré ou salé ? salé.

En ce moment, j’é­coute : tout le temps les mêmes, peu de nou­veautés. Ella Fitzger­ald, Keta­ma, Sting, Ste­vie Won­der, et quand ça va pas, les vieux albums de Véronique Sanson.

En ce moment, je lis : J’es­saye … Psy­ch­analyse des con­tes de fées de Bruno Bettelheim.

Mon idole quand j’avais dix ans était : euh… en fait , j’ai fait un très gros blocage sur Yves Mon­tand que je rêvais de ren­con­tr­er. Il y a eu Brel aus­si, et Marylin m’in­triguait pas mal. Dans les plus « mod­ernes », j’ai eu ma péri­ode Balavoine.

Mon idole aujour­d’hui est : pas d’i­dole, mais des gens qui m’im­pres­sion­nent, des femmes surtout : Meryl Streep, Jes­si­ca Lange, Marisa Pare­des, Bar­bra Streisand, Sigour­ney Weaver, Ségolène Roy­al… non je rigole.

Ma comédie musi­cale préférée : Hair, pour l’u­topie. Les Demoi­selles de Rochefort, pour le roman­tisme et les mélodies. Cabaret, pour le mélange de déca­dence et d’espoir.

Le rôle que je rêve d’in­ter­préter : Sal­ly Bowles, toutes les héroïnes de Bergman, Strind­berg, et plus par­ti­c­ulière­ment Tenessee Williams. Quelqu’un veut bien mon­ter Eté et Fumées, que je joue Alma ?

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : oh la la ! Almod­ovar, Tim Bur­ton, Lars Von Tri­er, Ing­mar Bergman… mais pour lui c’est loupé.

Trois adjec­tifs qui me décrivent : spon­tanée, tra­vailleuse, sensible.

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze inter­roga­toire Mag­a­li Bon­fils : « Tu nous écris le pre­mier cou­plet de la chan­son qu’on pour­rait présen­ter au prochain con­cours de l’Eurovision ?! » :
ah, elle est bonne celle-là, quelle drôle d’idée ! Quand j’é­tais petite, j’ado­rais l’Eu­ro­vi­sion. Et ben, ça pour­rait com­mencer par un truc du genre :
« Il y a bien sou­vent des honneurs
que l’on a du mal à porter
J’au­rais chan­té avec bonheur
En citoyenne du monde entier … »

Et puis après, ça pour­rait tourn­er à la cat­a­stro­phe… Pour une fois !!

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de ze interrogatoire : 
As-tu un truc impa­ra­ble pour gér­er le trac qui monte, qui monte ? S’il te plaît, ne réponds pas « rien » !

Ma devise : En bonne païenne que je suis pour­tant, je pense sou­vent : « Aide-toi, le Ciel t’aidera ».