Musique : Claude-Michel Schönberg
Livret : Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil
Paroles : Herbert Kretzmer
Mise en Scène : Frédéric Dubois
Direction vocale et musicale : Claude Soucy
Chef d’orchestre : Yves Bouchard
Arrangements et orchestrations : Gilles Ouellet, Gilles Léveillé et, Pierre Olivier Roy
Décors : Christian Fontaine
Costumes : Yasmina Giguère
Distribution : Gino Quilico (Jean Valjean), Kevin Houle (Enjolras), Geneviève Charest (Fantine), Alexandre De Grandpré (Javert), Jean-Raymond Châles (Thénardier), Myriam Brousseau (Cosette), Carl Poliquin (Marius), Kathleen Fortin (Madame Thénardier), Sophie Tremblay (Éponine), Alyson Gagnon (Cosette enfant), Joanie Banville (Éponine enfant).
Ensemble : Judith Bouchard, Yanick Côté, Olyvvia Labbé, Patrick Brown, Dominic Lorange, Katee Julien, Julie Lapierre, David LeBlanc, Andréanne Marcoux, David Noel, Fred-Éric Salvail, Marie-Michèle Roberge, Jeffrey Brown, Éric Paulhus, Elise Cormier, Marisol Forest, Maude Laperrière, Paul-Roger Gagnon, Martin Robert, Charles Pomerlo, Nadine Meloche, Bertin St-Onge, Isabeau Proulx Lemire.
Présentée dans 38 pays, traduite dans 21 langues différentes, vue par plus de 51 millions de personnes, présentée à Londres depuis 23 ans et considérée comme la troisième plus importante comédie musicale de Broadway, ce spectacle de grande envergure regroupera la même équipe de production de 2008. Plus de 50 artistes sur scène, comédiens, chanteurs et musiciens et quelque 350 costumes.
Digne, 1815 : La scène commence dans le bagne. Le protagoniste Jean Valjean, No 24601, est finalement libéré après 19 ans de travaux forcés, dont 5 pour avoir volé un pain et 14 pour avoir tenté de s’échapper. Le policier Javert lui donne un passeport jaune, qu’il faut toujours montrer. Jean Valjean quitte Toulon plein d’espoir d’une nouvelle vie, mais il découvre bien vite que son passé de forçat le fait rejeter partout : s’il trouve du travail, il ne reçoit que la moitié du salaire et aucune auberge ne le reçoit. Seul, l’évêque de Digne lui donne à manger et un lit pour la nuit. Mais Valjean, enhardi par sa longue captivité à Toulon, le repaye en lui volant son argenterie. Capturé, on le ramène à Digne. L’évêque, qui connaît le passé de Valjean, ment pour le sauver et lui donne aussi deux chandeliers en argent. Il lui demande de recommencer une vie honnête avec cet argent. Valjean, stupéfié par la pitié de l’évêque, s’engage à suivre la demande de l’évêque.