Opéra-comique en un acte, livret d’Eugène de Planard, cré » le 19 février 1852 à l’Opéra-Comique.
Direction musicale : Nicolas Simon.
Études musicales : Pierre Girod.
Chef de chant : Juliette Sabbah.
Assistante : Camilla Rossetti.
Mise en scène : Pascal Neyron.
Création lumière : Pascal Nawojski.
Maquillage : Isabelle Garcia.
Et les solistes de l’orchestre des Frivolités Parisiennes
C’est un peu Eugénie Grandet arrangé par Tex Avery. Laurette doit épouser Bastien, le filleul du Bailli, mais ce mariage contrarie une inclination réciproque contractée depuis l’enfance avec Marcelin, parti pour la guerre. Babet non plus n’est pas contente, car Bastien était son amant. Voilà maintenant Marcelin qui revient au village en catimini, et surprend Babet et Bastien en pleine scène de ménage dans le moulin. Il s’amuse à les effrayer.
Distribuant ensuite des lettres censées venir de l’au-delà, il accuse la frivole promise de l’avoir si vite remplacé, et réclame en même temps sa main au Bailli. Encore un petit tour de magie et chacun se soumet à la volonté du trépassé… lequel sort immédiatement de son sac pour profiter de la situation avant qu’ils ne se ravisent.