Un chanteur pop et une icône du cinéma pour reprendre le brûlot de Jean Genet ? Quelle idée… splendide !
Cette première œuvre de l’auteur et poète français, écrite en prison en 1942, qui parle d’un assassin, de guillotine et de fantasmes homosexuels, est en fait un long poème cru adressé à un amant rêvé, une ode à l’amour aujourd’hui récitée par une des grandes actrices de l’Hexagone et chantée par Étienne Daho, qui en signe aussi les arrangements.
Un projet hybride absolument unique et inattendu, une réunion rare. Troublant et sensuel… à mort. En lever de rideau, un Pierre Lapointe des plus épuré, en tête à tête avec son piano.
Étienne Daho et Jeanne Moreau, Le condamné à mort.
Première partie : Pierre Lapointe seul au piano.
11 juin, 20h00, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts de Montréal
Billets en vente dès samedi midi au 514 842?2112 ou sur le site de la Place des Arts.