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Le blues d’la métropole

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La troupe de la comédie musicale <i>Le blues d’la métropole</i> ©DR
La troupe de la comédie musi­cale Le blues d’la métro­pole ©DR

Livret : Louisa Déry et Michèle Grondin
Paroles et musique : Beau Dommage
Met­teur en scène : Serge Denoncourt
Directeur musi­cal : Chris­t­ian Péloquin
Choré­graphes : Nico­las Archam­bault et Wynn Holmes
Décors : Guil­laume Lord

Avec :
Nor­mand D’amour : Yvon
David Lau­rin : François
Marylène Cousineau : Julie
Éric Paul­hus : Paul
Sophie Trem­blay : Marie-Chantale
Carl Poliquin : Marc
Pas­cale Mon­treuil : Diane

La comédie musi­cale Le blues d’la métro­pole repose unique­ment sur l’œuvre de Beau Dom­mage et met en vedette 29 chan­sons du groupe qui a mar­qué tout le Québec depuis 35 ans.

Nous sommes en mai 1976…
Six jeunes, trois gars et trois filles, âgés entre 18 et 28 ans, vivent leurs ami­tiés et leurs amours dans ce quarti­er mon­tréalais qui les a vu grandir : Viller­ay. Ils se retrou­vent régulière­ment chez Yvon, joueur de hock­ey pro­fes­sion­nel à la retraite et pro­prié­taire de la brasserie du quarti­er. Accueil­lant et com­plice de cette gang de jeunes, Yvon les pater­ne mal­gré ses ennuis per­son­nels. Les séries élim­i­na­toires sont prop­ices aux ren­con­tres et retrou­vailles chez Yvon. Ce print­emps de ‘76 sera des plus mou­ve­men­tés pour nos protagonistes.

Autour de ces per­son­nages, cinq musi­ciens sont présents et inté­grés à la mise en scène. Ils parta­gent la scène avec six danseurs-cho­ristes, cer­taines par­ties de l’histoire étant exprimées par des chorégraphies.

Cette his­toire nous per­me­t­tra de redé­cou­vrir une par­tie impor­tante de l’œuvre de Beau Dom­mage. Le livret du Blues d’la métro­pole repose sur des incon­tourn­ables comme « La com­plainte du phoque en Alas­ka », « Le Blues d’la Métro­pole », « Ginette », « Tous les palmiers », « Le cœur endor­mi », « Amène pas ta gang  » et des petits bijoux moins con­nus qui sont vite devenus essen­tiels à l’évolution de l’histoire, comme « Le vent d’la ville », « Du milieu du pont Jacques-Carti­er » et, « Telle­ment on s’aimait… »