
Après avoir fait partie de la troupe du Violon Sur Le Toit, Laurent Codair est désormais à Londres pour jouer dans le spectacle Movin’ Out de Billy Joel et Twyla Tharp (à partir du 28 mars à l’Apollo Victoria Theatre).
Nom : Codair
Prénom : Laurent
Date de naissance [NDLR : année facultative mais ce serait bien si vous la mettiez] : 29 mars 1975
J’adore : Les surprises, le jazz et les bons repas
Je déteste : La foule, l’injustice et ma voisine du dessus !
Ma couleur préférée : Bordeaux
Mon péché mignon : Des ravioles de Romans à la crème !
L’autre métier que j’aurais pu faire : Un truc autour de la psychologie.. ça me passionne !
La chose que j’emporterais sur une île déserte : un Ipod bourré de musique !
Mon pire cauchemar : vivre un crash aérien
Sucré ou salé ? Salé !
En ce moment, j’écoute : le dernier album de Mary J. Blige The Breakthrough mais aussi celui de Linda Eder Songs of Judy Garland… un petit bijou !
En ce moment, je lis : L’Amour Est un Crime Parfait de Jean-Claude Lavie
Mon idole quand j’avais dix ans était : Mikhail Baryshnikov
Mon idole aujourd’hui est : Bernadette Peters
Ma comédie musicale préférée : Les Producteurs de Mel Brooks (…un vrai petit chef d’oeuvre! Je l’ai vu quatre fois, je ne me lasse jamais de le revoir!)
Le rôle que je rêve d’interpréter : Molina dans Le Baiser de La Femme Araignée
La personne avec qui je rêve de travailler : Ned Grujic (..un meteur en scène qui comprend et aime le théatre musical!) mais aussi partager la scène avec Nathan Lane, Chita Rivera, Joël Grey, Liza Minnelli pour me nourrir de leur talents et de leurs expériences (…il faut que je me dépèche, je crois !)
Trois adjectifs qui me décrivent : Passionné, entier et têtu!
Question posée par la précédente victime de Ze interrogatoire, Fabian Richard : Où étiez-vous la nuit dernière ? : Chez moi, sous ma couette…
La question que je pose à la prochaine victime de ze interrogatoire : N’as-tu jamais pensé à la chirurgie esthétique ?
Ma devise : « Si ton labeur est dur et tes résultats sont minces, rapelle toi qu’un jour le grand chêne a été un gland comme toi »