Musique : Richard Rodgers
Paroles : Oscar Hammerstein II
Mise en scène : Denise Filiatrault
Adaptation française : Yves Morin
Distribution :
Catherine B. Lavoie (Maria), Robert Marien (Capitaine Von Trapp), Noëlla Huet (Mère supérieure), Marie-Pierre de Brienne (Liesl), Hugo Lapierre (Ralf), Normand Carrière (Max Detweiler), Isabelle Lemme (Elsa Schraeder), Thiery Dubé (Herr Zeller), Jean-François Blanchard (Admiral Von Schreiber), Daniel Delisle (ensemble/gars), Marie-Claude Michaud (Sœur Berthe), Claudine Paquette (Sœur Marguerite), Élisabeth Lenormand (Sœur Sophia), Dorothéa Ventura (ensemble/sœur), Stéphane Jacques (Franz le majordome), Marie-Christine Perreault (Frau Schmidt, la gouvernante / une sœur).
Attendue avec impatience par les inconditionnels de Julie Andrews, de Petula Clark, de Christopher Plummer et de la féerie « à l’américaine », cette Mélodie du bonheur s’enligne d’ailleurs pour être l’événement culturel de l’été.
Pour relever ce défi historique et mettre en scène ce spectacle à grand déploiement – plus de 30 chanteurs et comédiens engagés, dont 13 enfants –, les producteurs ont très naturellement fait appel à Denise Filiatrault, qui, avec My Fair Lady, Sweet Charity, Neuf et Un violon sur le toit l’an passé, a prouvé qu’elle savait comme personne faire vibrer le Québec au rythme de Broadway.
Parmi ces voix, on reconnaîtra celle de Robert Marien (le Capitaine von Trapp), qui a déjà illuminé les comédies musicales Napoléon, Notre-Dame de Paris, Don Juan et Les Misérables. On découvrira celle de Catherine B. Lavoie (Maria) et, on se laissera séduire par celle de Noëlla Huet (la Mère supérieure), qui a déjà incarné ce même rôle dans la production Torontoise The Sound of Music et qui se produit régulièrement avec l’Opéra de Montréal.