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Juliette Sarre

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Juliette Sarre ©DR

Juli­ette vient tout juste de ter­min­er de jouer dans Grease au Comédia.

Nom : Sarre

Prénom : Juliette

Date de nais­sance [NDLR : année fac­ul­ta­tive mais ce serait bien si vous la met­tiez] : 22 février…

J’adore : le choco­lat, les ani­maux, marcher pieds nus, chanter sous la douche, l’odeur de la peau l’été au soleil sur la plage, l’his­toire, la phi­lo, Gersh­win, mes copines de loge dans Grease, les énigmes, les grass­es mat­inées, les belles ren­con­tres, les héros ordi­naires, com­pren­dre quelqu’un juste par des regards, les solos de gui­tare électrique.

Je déteste : la pluie glacée, les douch­es froides, la trahi­son, l’op­por­tunisme, les huîtres, le manque de curiosité, les gens qui se plaig­nent sans cesse.

Ma couleur préférée : le bleu.

Mon péché mignon : les chaussures.

L’autre méti­er que j’au­rais pu faire : médecin, archéo­logue ou journaliste.

La chose que j’emporterais sur une île déserte : un dic­tio­n­naire et une paire de lunettes de soleil .

Mon pire cauchemar : per­dre ceux que j’aime et me sen­tir impuissante.

Sucré ou salé ? Les deux ! J’aime les deux !

En ce moment, j’é­coute : Kabaret de Patri­cia Kaas. A pri­ori, je n’é­tais pas vrai­ment fan d’elle mais là, j’aime beaucoup.

En ce moment, je lis : pour la deux­ième fois The Secret de Rhon­da Byrne, que m’a offert ma meilleure amie Amélie.

Mon idole quand j’avais dix ans était : Jean-Jacques Goldman !

Mon idole aujour­d’hui est : Bernadette Peters.

Ma comédie musi­cale préférée : Jekyll and Hyde, Chica­go, Kiss Me Kate, West Side Sto­ry, Cabaret… et Grease bien sûr!

Le rôle que je rêve d’in­ter­préter : Il y en a un paquet ! Par exem­ple, Lucy dans Jekyll, Kate dans Kiss Me Kate, Vel­ma dans Chica­go, la Dame du lac dans Spa­malot… Je reste ouverte à toute proposition !

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : Bob Fos­se mais c’est un peu loupé.

Trois adjec­tifs qui me décrivent : Pas­sion­née, rêveuse, tenace.

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze inter­roga­toire, Math­ieu Bol­dron : Qui t’a don­né la fibre du musi­cal ? : Mon pre­mier pro­fesseur de danse à Boulogne sur Mer (Kay Kirk). Venant d’Outre-Manche, elle nous fai­sait faire des numéros de comédie musi­cale pour les galas de fin d’an­née. Mais c’est en voy­ant Cats à Paris en 1989 que j’ai eu la révéla­tion et que j’ai su que je voulais faire ce métier.

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de ze inter­roga­toire : Quel est le musi­cal qui t’a le plus boulever­sé et pourquoi?

Ma devise : « La tête dans les étoiles et les pieds sur terre ».