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Esther Terraz

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Esther Terraz
Esther Ter­raz

Esther vient de ter­min­er Les Mis­érables à Lau­sanne et sera à par­tir du 29 octo­bre dans La Grande Duchesse de Gerol­stein au Théâtre Musi­cal Marsoulan.

Nom : Ter­raz

Prénom : Esther

Date de nais­sance : 6 octo­bre 1975

J’adore : Beau­coup de choses : la bonne cui­sine, le bon vin, les voy­ages, les spec­ta­cles, les gens heureux…

Je déteste : quit­ter mes amis de scène aux dernières.

Ma couleur préférée : Je n’ai pas de couleur préférée mais je déteste le fluo.

Mon péché mignon : Une chaise longue sur le sable avec un cock­tail en face de la mer.

L’autre méti­er que j’aurais pu faire : J’ai enseigné pour les mater­nelles pen­dant huit ans avant de me lancer dans la comédie musicale.

La chose que j’emporterais sur une île déserte : Mon homme pour repe­u­pler l’île !

Mon pire cauchemar : Avoir un blanc sur scène.

Sucré ou salé ? Les deux. J’aime bien com­mencer par l’apéro et finir par un moelleux au chocolat.

En ce moment, j’écoute : Un mix de Loung Min­i­mal qu’un copain suisse (Dinix) m’a fait et La Grande Duchesse de Gerol­stein.

En ce moment, je lis : Rien pour l’instant, je n’ai pas le temps.

Mon idole quand j’avais dix ans était : Madon­na (et oui c’était l’époque !)

Mon idole aujourd’hui est : Je n’ai pas d’idole car je ne trou­ve pas très sain d’aduler une per­son­ne mais je trou­ve fan­tas­tiques les voix de black, style Mary J. Blige, Skunk Anan­sie, ou les voix par­ti­c­ulières comme Duffy.

Ma comédie musi­cale préférée : Les Mis­érables, Hair­spray.

Le rôle que je rêve d’interpréter : Mary Poppins

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : Toutes les per­son­nes qui ont des choses à dire et qui le font avec qualité.

Trois adjec­tifs qui me décrivent : Per­fec­tion­niste, sen­si­ble, à l’écoute d’autrui.

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze Inter­roga­toire, San­drine Seu­bille : Crois-tu aux extra-ter­restres ? Mais non San­drine, je t’ai déjà dit que les extra-ter­restres n’existaient pas et qu’il n’y a pas de loups sous ton lit !

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de Ze inter­roga­toire : Quelle est la sit­u­a­tion la plus humiliante que tu aies vécue sur scène ?

Ma devise : Il en faut peu pour être heureux !