Accueil Divers Eric Jetner

Eric Jetner

0
Eric Jetner ©DR
Eric Jet­ner ©DR

Après avoir fait par­tie de la dis­tri­b­u­tion de Cabaret, Eric est actuelle­ment en répéti­tions pour Fame, à l’af­fiche du Come­dia à par­tir du 28 mars.

Nom : Jetner

Prénom : Eric

Date de nais­sance [NDLR : année fac­ul­ta­tive mais ce serait bien si vous la met­tiez] : 14 févri­er 1985 (eh oui : un enfant de l’amour !)

J’adore : La vie ! J’aime chaque moment que je vis, aus­si bien heureux que triste, car ils m’ap­por­tent tant de choses. Et l’ex­péri­ence de la vie, il n’y a rien de tel pour forg­er sa per­son­nal­ité. Mais plus pré­cisé­ment, j’adore ren­con­tr­er de nou­velles per­son­nes, appren­dre à décou­vrir et con­naître l’autre, la musique, ma famille, mes amis, rire, pleur­er, chanter, faire la fête. Enfin la vie quoi.

Je déteste : En fait, il y a peu de choses que je déteste, sauf peut-être faire mal gra­tu­ite­ment et volon­taire­ment envers les autres et envers soi-même… Je ne vois pas l’in­térêt d’être méchant. Sinon l’in­tolérance, le racisme, la mal­trai­tance, la guerre.

Ma couleur préférée : J’aime toutes les couleurs qui nous entourent et qui font par­tie de notre quo­ti­di­en car chaque couleur cor­re­spond à une émo­tion et un événe­ment. Cepen­dant le bleu reste ma couleur favorite.

Mon péché mignon : le cheese-cake et le champagne !

L’autre méti­er que j’au­rais pu faire : Je pense que jour­nal­iste ou inter­prète m’au­raient con­venu car j’au­rais pu voy­ager, décou­vrir d’autres cul­tures et ren­con­tr­er les gens.

La chose que j’emporterais sur une île déserte : Si je le peux, toutes les per­son­nes qui me sont chères et sans qui je ne pour­rais vivre.

Mon pire cauchemar : Etre seul !

Sucré ou salé ? Les deux ! Pourquoi les dis­soci­er, l’un ne va pas sans l’autre ! Essayez fro­mage-con­fi­ture, pâtes-chocolat…

En ce moment, j’é­coute : J’ai mis Itunes en mode aléa­toire alors je ne sais pas trop. Mais quand même plus par­ti­c­ulière­ment Spring Awak­en­ing et Spelling Bee.

En ce moment, je lis : Con­ver­sa­tions avec Dieu de Neale Don­ald Walsch.

Mon idole quand j’avais dix ans était : Bruno Pelletier…

Mon idole aujour­d’hui est : J’ad­mire chaque artiste pour ce qu’il est et puis surtout les artistes qui m’en­tourent au quo­ti­di­en que je respecte et je tiens a remerci­er pour tout ce qu’ils m’apportent.

Ma comédie musi­cale préférée : Oula ! Ques­tion dif­fi­cile. Mais je crois tout de même que j’ai un faible pour Rent et Jésus Christ Super­star.

Le rôle que je rêve d’in­ter­préter : Jésus dans Jesus Christ Super­star ou Mark dans Rent.

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : En fait, avec n’im­porte quel pro­fes­sion­nel qui me per­me­t­tra de me con­stru­ire et de me faire évoluer.

Trois adjec­tifs qui me décrivent : Per­sévérant, généreux, souriant.

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze inter­roga­toire, Vir­ginie Per­ri­er : Peux-tu nous dire en quelques mots pourquoi tu as choisi de faire ce métier ?
Eh bien ma petite Vir­ginie, par­mi tous les sujets que nous avons abor­dés, c’est tout de même étrange que nous n’ayons jamais par­lé de celui-ci. Alors pour faire court… J’ai com­mencé le sax­o­phone à cinq ans en Nor­mandie dans ma ville natale (Coutances) puis en 1998 mon cousin m’a emmené voir Star­ma­nia et là ce fut le coup de foudre pour le spec­ta­cle musi­cal. J’ai donc com­mencé à pren­dre des cours de chant puis je suis venu, à l’âge de quinze ans, à Paris pour com­mencer à me for­mer au Cen­tre des Arts Vivants (que tu con­nais bien d’ailleurs) et ren­con­tr­er le milieu artis­tique. Et puis de ren­con­tres en ren­con­tres, à force de tra­vail et de per­sévérance me voilà à tes côtés dans Cabaret et je voulais te dire que tu es l’une de mes plus belles ren­con­tres sur cette mer­veilleuse aven­ture artis­tique et humaine. Alors merci !

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de ze inter­roga­toire : Comme j’adore faire de nou­velles ren­con­tres, accepterais tu de venir dîn­er avec moi dans l’un de mes restos favoris ?

Ma devise : « On ne voit bien qu’avec le coeur, l’essen­tiel est invis­i­ble pour les yeux » Antoine de St Exupery