Comment vous est venue l’idée du spectacle Folles Noces ?
Catherine Delourtet : Au départ, on avait prévu de monter un spectacle de cabaret. On cherchait un fil conducteur…
Jean-Paul Delvor : Et on a eu l’idée d’un mariage entre deux personnages farfelus.
Comment le décririez-vous ?
Catherine : C’est un spectacle généreux et léger où tout est permis… et où on ose tout !
Jean-Paul : Une comédie chantée entrecoupée de sketches où l’on multiplie les clins d’oeil au cinéma, au théâtre de boulevard, au music-hall…
Quelles chansons va-t-on y entendre ?
Jean-Paul : Le répertoire est très éclectique : de Fernandel à Stone et Charden, en passant par Thiéfaine, Juliette, Les Frères Jacques ou Elli Medeiros.
Catherine : Et en final, un grand zapping musical qui évoque des couples mythiques, tout en revisitant les oeuvres immortelles de Mike Brant, Michel Sardou, Claude François, Dalida, Michèle Torr, etc.
Comment s’est fait le choix ?
Catherine : On a choisi des chansons que l’on aimait et que l’on avait envie d’interpréter.
Jean-Paul : Et d’autres que ça nous amusait de détourner, de décaler… Thomas Ribes, notre pianiste-arrangeur, a aussi beaucoup contribué à la sélection des morceaux.
Votre expérience dans la troupe de Roger Louret vous a‑t-elle servie dans l’élaboration de ce spectacle ?
Jean-Paul : Oui beaucoup. De La Java des Mémoires aux Années Twist, en passant par Les Z’Années Zazous ou Les Années Tubes, Roger a considérablement enrichi notre culture musicale.
Catherine : Au sein de la Compagnie des Baladins en Agenais, nous avons pu aborder tous les registres et acquérir une solide expérience théâtrale. Ce fut une excellente école… et un bon entraînement physique !