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Broadway Melody — Leonard Bernstein

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broadway-melody-bernsteinDirec­tion artis­tique : Lau­ren Van Kempen
Direc­tion musi­cale, arrange­ments: Math­ieu Serradell
Textes de présen­ta­tion : Patrick Niedo
Chan­sons com­posées par Leonard Bernstein
Avec Chris­tine Buf­fle, Maxime de Tole­do, Lau­ren Van Kem­pen et Scott Emer­son (chant), Patrick Niedo (nar­ra­tion) et Math­ieu Ser­radell (piano)
« Broad­way Melody », une série de ren­con­tres musi­cales créées par Lau­ren Van Kem­pen, Math­ieu Ser­radell et Rémi Carémel

« Broad­way Melody » vous fait décou­vrir la magie des comédies musi­cales améri­caines à tra­vers des ren­con­tres musi­cales thé­ma­tiques. Sur scène, les airs sont présen­tés par un his­to­rien de la comédie musi­cale et inter­prétés par de bril­lants tal­ents inter­na­tionaux de la comédie musi­cale, sous la direc­tion de Lau­ren Van Kem­pen et Math­ieu Ser­radell. Des spec­ta­cles des­tinés aus­si bien aux con­nais­seurs du genre qu’au grand public.
Pour cette troisième ren­con­tre musi­cale de « Broad­way Melody », hom­mage est ren­du au grand Leonard Bernstein.
« Leonard Bern­stein n’a com­posé que six comédies musi­cales, dont seule­ment qua­tre ont une notoriété indé­ni­able. Les deux autres, Peter Pan (1950) et 1600 Penn­syl­va­nia Avenue (1976), sont qua­si­ment oubliées. Par ses par­ti­tions presque sym­phoniques (dont cer­taines seront d’ailleurs repris­es par lui-même dans des ver­sions con­cert), il a apporté un souf­fle nou­veau à Broad­way dès On the Town en 1944. Pour Won­der­ful Town (1953), il s’amuse avec ses amis Bet­ty Com­den et Adolph Green avant d’adapter Can­dide de Voltaire en 1956. Échec com­mer­cial lors de sa présen­ta­tion, ce musi­cal devien­dra un clas­sique du réper­toire améri­cain. En 1957, West Side Sto­ry couronne sa car­rière ; c’est un chef‑d’oeuvre absolu grâce à une imbri­ca­tion savante de la musique, des lyrics, du livret et surtout de la choré­gra­phie signée Jerome Rob­bins. L’immense répu­ta­tion de Bern­stein chef d’orchestre mas­quera ses activ­ités de com­pos­i­teur. Jugé trop pop­u­laire dans le monde de la musique savante et trop intel­lectuel pour Broad­way, il aura mal­heureuse­ment du mal à se faire une place bien définie dans l’histoire de la musique américaine. »
Patrick Niedo (His­toires de comédies musi­cales, éd. Ipanema)