Auteur-com­pos­i­teur : Jonathan Kerr
Arrangeur : Roger Loubet
Met­teur en scène : Erwan Daouphars
Déco­ra­teur : Jean-Jacques Gernolle
Cos­tu­mi­er : Rena­to Bianchi
Créa­teur lumières : Anto­nio De Carvalho
Choré­graphe : Mar­tin Matthias Ysebaert

Dis­tri­b­u­tion :
Achab : Jonathan Kerr
Ismaël le marin : Lau­rent Malot
L’Andalouse : Amala Landré
Harpe : Mar­got Var­ret / Myr­i­am Ser­fass (en alternance)
Vio­lon­celle : Johanne Mathaly
Accordéon : Crys­tel Galli

Adapter l’histoire de Moby Dick en spec­ta­cle musi­cal  est un chal­lenge qui pour­rait paraître com­pliqué, tant l’histoire de ce cap­i­taine obnu­bilé par une baleine est dif­fi­cile­ment imag­in­able sur une scène. Pari gag­né pour l’équipe de Jonathan Kerr qui réus­sit ici une très belle adap­ta­tion libre­ment inspirée du roman d’Her­man Melville. Le décor qui représente les dif­férents niveaux du bateau est très réus­si et l’ambiance som­bre de l’histoire est totale­ment retranscrite.
On assiste à la déchéance de ce cap­i­taine de navire à tra­vers des tableaux musi­cale­ment très aboutis. La harpe, qui représente la baleine, nous trans­porte lit­térale­ment vers ces con­trées loin­taines et l’on est séduit par la beauté de cet instru­ment. Le spec­ta­teur est enchan­té par la poésie de ce spec­ta­cle et le chant de Moby Dick …