D’après Yvette Guilbert et sa correspondance avec Freud.
Piano : Jean-Pierre Gesbert.
Sous l’oeil complice de Jacques Verzier.
Avec : Nathalie Joly.
Freud avait entendu Yvette Guilbert dès ses débuts au Cabaret lors de son premier séjour à Paris lorsqu’il suivait les consultations du professeurs Charcot vers 1890. Frappé par l’esprit de l’interprète qui saisit l’âme humaine avec humour et cruauté,compassion et tendresse, il lui fait part de son admiration. Tous deux cherchaient dans la sexualité, cette « terre inconnue », les racines de l’esprit. Yvette Guilbert fut la reine incontestée du caf’conc’.