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Aurélien Berda

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Aurélien Berda ©DR
Aurélien Ber­da ©DR

Aurélien Ber­da est actuelle­ment à l’af­fiche de Chance dans les rôles d’E­ti­enne et du cour­si­er. Il est co-auteur avec Ida Gor­don de Dia­b­less­es et Théo, prince des pier­res, qui se jouent actuelle­ment. Tou­jours avec Ida Gor­don, il est co-auteur de Big Manoir — Episode 2 (prévu en jan­vi­er) et Barbe Bleue (prévu en avril au Sud­den), deux spec­ta­cles musi­caux dans lesquels il sera égale­ment comé­di­en. Enfin, du 15 au 17 mars, il sera sur la scène du Casi­no de Paris pour L’autre his­toire de Babel, le nou­veau spec­ta­cle de Hervé Devold­er pour lequel il sera comé­di­en et assis­tant met­teur en scène.

Nom : Berda

Prénom : (s) Aurélien, Emmanuel, René et Ulysse (non, je ne vous cacherai rien !!)

Date de nais­sance [NDLR : année fac­ul­ta­tive mais ce serait bien si vous la met­tiez] : 25 Décem­bre 1979 (Noël !!)

J’adore : Ma famille (c’est assez rare aujour­d’hui pour être signalé)

Je déteste : L’or­age (ma seule pho­bie) et les gens ou choses naturelle­ment détesta­bles, com­prenant : Nel­ly Ole­son, les anciens fumeurs mil­i­tants, la musique dans les restos jap, les mimes…

Ma couleur préférée : Ce rouge qui va si bien aux bruns.

Mon péché mignon : Le caramel !

L’autre méti­er que j’au­rais pu faire : Prof de physique chimie, j’au­rais adoré !!

La chose que j’emporterais sur une île déserte : Une « Ida Gor­don » (ma co-auteurE) avec elle : rires garan­tis et des mil­liards d’his­toires à imag­in­er, racon­ter et écrire.

Mon pire cauchemar : Une semaine en camp­ing, pourquoi aller con­tre le pro­grès ? Vive le micro-ondes !

Sucré ou salé ? Salé, mal­gré le pêché mignon. (quoique Caramel/Sel de Guérande, c’est une tue-rie)

En ce moment, j’é­coute : Rachel Fer­rell : vous vous ren­dez bien compte que c’est juste tech­nique­ment impos­si­ble ce qu’elle fait !

En ce moment, je lis : Pas grand chose à part les valeurs nutri­tion­nelles sur les embal­lages ! Je suis plutôt télé-phage : Sans aucun doute (vive Maitre Noa­chovitch !), Faites entr­er l’ac­cusé, Secret d’ac­tu­al­ité, ce genre là… Moins cul­turel, certes, mais ça inspire !

Mon idole quand j’avais dix ans était : Dorothée ! Comme tout le monde, non ?

Mon idole aujour­d’hui est : Michel Roux ! Pas de poster, mais j’adore ! Regardez Le canard à l’o­r­ange avant de juger !

Ma comédie musi­cale préférée : Une ? Impos­si­ble ! A défaut : une moins con­nue mais que j’adore : Reefer Mad­ness (un jour, je la monterai )

Le rôle que je rêve d’in­ter­préter : Mark Cohen dans Rent ! (puisqu’il y a eu une manif con­tre le fait que je joue Kei­th — Kate au mas­culin — dans Chance ! Man­i­festez-vous aus­si ! Soutenez moi ! Faites des sondages !)

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : Restons en France soyons réal­istes ! Con­cer­nant la comédie musi­cale, en jouant dans Chance, j’ai eu le priv­ilège de jouer avec une bonne par­tie des plus grands !! Reste plus que les autres ! A lexan­dre Bon­stein, Vin­cent Heden, Ari­ane Pirie, Sinan… J’en passe une trentaine !
Con­cer­nant le théâtre : Patrice Chéreau. (Oui on peut aimer Julien Courbet et Patrice Chéreau)

Trois adjec­tifs qui me décrivent : 1- Fon­cière­ment gen­til : c’est pas for­cé­ment une qualité.
2 — Ado­ra­teur du Dieu « Tra­vail » : donc fumeur de trop de cig­a­rettes ! Buveur de trop de café ! Met­teur de trop de points d’ex­cla­ma­tion (prise de conscience) !!!!
3 — Cla­mar­tois ! Je lutte à ma manière con­tre le lob­by parisien !

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze inter­roga­toire Jacques Verzi­er : Donne-moi s’il te plaît (ou don­nez-moi s’il vous plaît…) une idée de disque à plac­er sur mon Tep­paz le
matin au réveil :
Je dirais un bon vieux « foR­mi­da­Ble Rhyth­m’N’Blues » ! Otis Red­ding, Wil­son Pick­ett, Aretha Franklin : ça, ça réveille en beauté !

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de ze inter­roga­toire : Quelle est ta blague fétiche ? Celle qui marche tout le temps ?

Ma devise : J’en ai deux en fait !
« Tu es le seul acteur de ta vie » (dix­it : ma mère)
« Quand il y a du pain sur l’auberge, ne baisse pas l’éponge » (dix­it : Georgine Trouil­let, si vous ne la con­nais­sez pas encore, vous en enten­drez parler !)