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Anandha Seethanen

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Anandha Seethanen
Anandha Seethanen ©DR
Anand­ha Seetha­nen ©DR

Anand­ha Seetha­nen sera à l’af­fiche de Couleurs et Mots, réc­i­tal poé­tique autour de Joséphine Bak­er, à par­tir du 14 sep­tem­bre. Elle sera égale­ment en con­cert,  accom­pa­g­née par le gui­tariste Mis­ja Fitze­grald-Michel, aux Fous de l’Ile le 5 octo­bre et au Kibele le 11 octobre.

Nom : Seethanen

Prénom : Anandha

Date de nais­sance [NDLR : année fac­ul­ta­tive mais ce serait bien si vous la met­tiez] : le 19 sep­tem­bre de l’an­née 5070 (d’après le cal­en­dri­er Tamoul !)

J’adore : penser que l’Homme est perfectible.

Je déteste : l’idée qu’il s’en fiche pas mal !

Ma couleur préférée : n’im­porte quelle couleur de la nature.

Mon péché mignon : les salles de théâtre vides.

L’autre méti­er que j’au­rais pu faire : pho­tographe (voyageuse ce n’est pas un métier ?).

La chose que j’emporterais sur une île déserte : : mon appareil pho­to ! (Aller sim­ple ou aller-retour ?) Et aus­si de quoi écrire.

Mon pire cauchemar : pass­er à côté de l’essentiel.

Sucré ou salé ? Sucré le plus sou­vent ; mais on sait où ça mène…

En ce moment, j’é­coute : la musique de la pluie con­tre ma fenêtre, tan­dis que l’orchestre entame sur ma pla­tine « Jeux de vagues », la deux­ième esquisse sym­phonique de La Mer de Debussy.

En ce moment, je lis : Loin de Chandi­garh de Tarun J. Tej­pal (un écrivain indien).

Mon idole quand j’avais dix ans était : je ne crois pas en avoir eue.

Mon idole aujour­d’hui est : en fait, je ne com­prends pas très bien cette notion d’i­dole. Je dirais plutôt qu’il y a des per­son­nes dont j’ad­mire les qual­ités, et ce ne sont pas for­cé­ment des per­son­nes publiques.

Ma comédie musi­cale préférée : j’ai bien peur d’en con­naître très peu… Un Améri­cain à Paris peut-être, pour la musique de Gersh­win, et pour ces numéros de danse à l’améri­caine à la fois flu­ides, légers et réglés au mil­limètre près. Mais je l’ai vu il y a longtemps. Mon regard serait peut-être dif­férent aujourd’hui.

Le rôle que je rêve d’in­ter­préter : n’im­porte lequel qui me ferait décou­vrir des choses nou­velles et fortes sur le plan psy­chologique, émo­tion­nel, peut-être même philosophique.

La per­son­ne avec qui je rêve de tra­vailler : une qui soit intel­li­gente, exigeante, ouverte d’e­sprit, sen­si­ble et hum­ble (Peter Brook est-il comme ça ?).

Trois adjec­tifs qui me décrivent : utopiste, émo­tive, perfectionniste.

Ques­tion posée par la précé­dente vic­time de Ze inter­roga­toire, Frédéric Bap­tiste : Quel soir êtes-vous libre, que nous dînions ensem­ble ? Euh… Je n’ai pas pour habi­tude de dîn­er avec des incon­nus ; déje­unons, plutôt !

La ques­tion que je pose à la prochaine vic­time de ze inter­roga­toire : que sig­ni­fie pour vous « être heureux » ?

Ma devise : « Lente­ment mais sûrement ».