

Amala Landré vient tout juste d’incarner Marie, la touchante serveuse de Rutabaga Swing à la Comédie des Champs-Elysées.
Nom : Landré
Prénom : Amala
Date de naissance [NDLR : année facultative mais ce serait bien si vous la mettiez] : 11 juin 1980
J’adore : Mes parents, Boris Vian, chanter, manger, Gomez-Arcos et sa Maria Republica (le plus beau bouquin que j’ai jamais lu !), les voyages, l’Inde…
Je déteste : Les dentistes ( sauf mon beau père) et les insectes (seulement ceux qui piquent et qui grattent).
Ma couleur préférée : Aujourd’hui, je dirais le rouge et demain je n’en sais rien.
Mon péché mignon : une (ou deux !) tartine(s) de pain-beurre?nutella…
L’autre métier que j’aurais pu faire : Médecin, «du monde» (tant qu’à faire), je ne sais pas si j’aurais pu mais j’aurais bien voulu !
La chose que j’emporterais sur une île déserte : Une valise de pshit anti moustique !
Mon pire cauchemar : Ne plus avoir de rêves…
Sucré ou salé ? Salé au printemps et en été, sucré en automne et hiver.
En ce moment, j’écoute : Sanseverino, Melle K, David Bowie, Kurt Weill, Camille, La fille d’octobre.
En ce moment, je lis : L’amour aux temps du choléra.
Mon idole quand j’avais dix ans était : Elsa (« Jour de neige »), et Louis de Funès (je disais à tout le monde : «Quand je serai grande je me marierai avec lui»).
Mon idole aujourd’hui est : Je n’aime pas tellement le mot idole qui garde une certaine connotation religieuse mais il y a une tonne de gens que j’admire Barbra Streisand, Glenn Close, Vian, James Thiérée…
Ma comédie musicale préférée : Yentl, Funny Girl (ce sont les deux premières que j’ai vues) et Godspell (la première que j’ai jouée).
Le rôle que je rêve d’interpréter : Yentl.
La personne avec qui je rêve de travailler : Peter Brook, Lars Von Trier…
Trois adjectifs qui me décrivent : Sensible, gourmande et bordélique.
Question posée par la précédente victime de Ze interrogatoire, Grégory Juppin : Quand comptes-tu arrêter ce métier ? : J’ai du mal à concevoir ma vie sans être sur scène mais si un jour pour une quelconque raison ce métier ne m’épanouissait plus, j’imagine que j’arrêterais.
La question que je pose à la prochaine victime de ze interrogatoire : J’ai des fourmis à la maison dont je n’arrive pas à me débarrasser… «Mais qu’est-ce que j’peux faire ?»
Ma devise : Ce n’est pas parce que c’est difficile que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas que c’est difficile.