d’après Stefan Zweig
Mise en scène : Franck Berthier
Adaptation, livret et paroles : Christine Khandjian et Stéphane Ly-Cuong
Musique : Sergeï Dreznin
Décor : Franck Berthier
Avec Isabelle Georges, Frederik Steenbrink et Olivier Ruidavet
Accompagnés par Yann Ollivo (arrangements, direction musicale et piano), Naaman Sluchin (violon) et Isabelle Sajot (violoncelle)Résumé : Une femme, récemment veuve, se jette corps et âme dans une passion dévorante pour un jeune homme fou de jeu qui vient de tout perdre au casino.
Elle nous raconte cette passion fulgurante et inoubliable, cette émotion crue qui se cache sous les masques, cette histoire intemporelle d’amour et d’abandon malgré les conventions sociales.
Mise en scène : Franck Berthier
Adaptation, livret et paroles : Christine Khandjian et Stéphane Ly-Cuong
Musique : Sergeï Dreznin
Décor : Franck Berthier
Avec Isabelle Georges, Frederik Steenbrink et Olivier Ruidavet
Accompagnés par Yann Ollivo (arrangements, direction musicale et piano), Naaman Sluchin (violon) et Isabelle Sajot (violoncelle)Résumé : Une femme, récemment veuve, se jette corps et âme dans une passion dévorante pour un jeune homme fou de jeu qui vient de tout perdre au casino.
Elle nous raconte cette passion fulgurante et inoubliable, cette émotion crue qui se cache sous les masques, cette histoire intemporelle d’amour et d’abandon malgré les conventions sociales.
Notre avis : Avec son rythme lent, son plateau dépouillé, ses lumières savamment agencées 24 heures de la vie d’une femme ressemble à un rêve, à une parenthèse, comme l’est cette rencontre pour cette femme. Tout dans la mise en scène et dans l’adaptation musicale est mis en œuvre pour créer avant tout l’atmosphère propice à raconter cette histoire. L’histoire d’une rencontre, brève mais intense entre un homme jeune, joueur et insouciant et une femme plus mûre, veuve et responsable, qui va marquer la vie de cette dernière à tout jamais.
Les compositions musicales expriment parfaitement la violence des émotions au milieu du calme de l’apparence et des conventions sociales. Elles sont brillamment interprétées par Isabelle Georges, Olivier Ruidavet et Frederik Steenbrink qui sont soutenus par un accompagnement au piano, violon et violoncelle de grande qualité. Une ambiance d’irréalité plane tout le long. Elle est amplifiée par le personnage du « regard des autres » incarné par Olivier Ruidavet dont l’interprétation gagne en intensité au fil du spectacle. Dans ce cadre plein de contradictions, à la fois calme et violent, Isabelle Georges joue avec beaucoup de sincérité et de talent son personnage de femme passionnée marquée à la fois par la mort et par une forte envie de vivre pleinement sa vie.
Les compositions musicales expriment parfaitement la violence des émotions au milieu du calme de l’apparence et des conventions sociales. Elles sont brillamment interprétées par Isabelle Georges, Olivier Ruidavet et Frederik Steenbrink qui sont soutenus par un accompagnement au piano, violon et violoncelle de grande qualité. Une ambiance d’irréalité plane tout le long. Elle est amplifiée par le personnage du « regard des autres » incarné par Olivier Ruidavet dont l’interprétation gagne en intensité au fil du spectacle. Dans ce cadre plein de contradictions, à la fois calme et violent, Isabelle Georges joue avec beaucoup de sincérité et de talent son personnage de femme passionnée marquée à la fois par la mort et par une forte envie de vivre pleinement sa vie.